En bref
- L’arrivée d’un enfant entraîne de nouvelles responsabilités pour les parents
- Assurer son avenir implique une épargne régulière et une protection en cas d’invalidité ou de décès
- La meilleure solution passe par un carnet d’épargne et une assurance
Les questions à se poser
- Comment financer le temps d’étude de mon enfant ?
- Faire de l’épargne par un carnet bancaire ou une assurance ?
- Comment protéger l’avenir de mon enfant en cas de son invalidité, celle du parent, voire son décès ?
Comment puis-je constituer une épargne pour mon enfant et couvrir certains risques ?
Quand l’enfant paraît
Vous avez la joie d’accueillir un enfant dans votre famille. Félicitations ! Vous êtes devenus maintenant parents, avec à la clé de nouvelles responsabilités.
Des questions se posent
- Comment financer au mieux le temps des études (apprentissage ou études supérieures) ?
- Comment constituer une épargne pour l’aider à se lancer dans la vie (s’installer, acheter un véhicule, faire un voyage) ?
- S’il devenait invalide (avant d’être professionnellement actif) par maladie ou accidents, l’AI suffira-t-elle pour son existence entière ?
- Si l’un des parents venait à décéder prématurément ou devenait invalide, comment assurer malgré tout l’avenir de votre enfant ?
Carnet d’épargne ou police d’assurance ?
A chaque grand événement de sa vie (Noël, anniversaires), votre enfant recevra quelques petites sommes d’argent de la famille. Il peut aussi recevoir de l’argent de poche, faire quelques petits travaux rémunérés … Qu’allez-vous ou que va-t-il faire de cet argent ?
Le problème avec le carnet
Vous ouvrez un carnet au nom de votre enfant dès ses premiers mois pour mettre de côté ce petit pécule. Mais savez-vous que dès l’âge de 16 ans, votre enfant pourra retirer de l’argent plus ou moins facilement de son compte sans votre accord. A sa majorité, il pourra même disposer de votre épargne comme bon lui semble … pour le meilleur comme pour le pire ! De plus, ce carnet n’offre aucune protection en cas d’invalidité ou de décès de votre enfant ou d’un parent.
Résultat : vous avez toutes les chances que l’objectif d’épargne ne se réalise pas en cas de pépin.
Les avantages de l’assurance
Certes, le rendement est tout à fait comparable (si l’on reste dans l’épargne traditionnelle) avec le carnet, mais vous pouvez ajouter des rentes en cas d’invalidité de l’enfant, l’exonération du paiement de la prime en cas de décès ou d’invalidité du parent. A l’échéance du contrat (généralement 20 ou 25 ans de l’enfant), c’est le parent qui reçoit le capital et en dispose selon les circonstances du moment.
Résultat : quoiqu’il arrive, votre enfant sera protégé et touchera le capital prévu.
La meilleure solution
Faire un carnet d’épargne pour les rentrées d’argent ponctuelles et constituer une épargne régulière et protégée par le biais d’une assurance. Dans celle-ci, l’enfant est la personne assurée et le parent le preneur d’assurance et la 2e personne assurée. Il existe aussi des assurances pour enfant liées à des fonds avec de bonnes perspectives de rendement (possible avec capital garanti en cas de vie).